La crime: le polar à portée de Riolle

Nous avions consacré un post à l’étrange cuvette qu’on peut distinguer dans la grande parcelle cultivée sous la Grenière.

L’étrangeté de la situation, les incertitudes concernant l’origine de ce particularisme isolé, et le silence des géologues consultés, ont conduit aux plus folles hypothèses. La Crime, puisqu’il faut bien appeler cette grande pièce de terre par son nom, est-elle un endroit recelant des mystères particuliers? Oui, sur le cadastre de 1832 vous constaterez que c’est bien à la Crime que s’affiche cette cuvette. Et qu’il y figure comme une sorte de puisard. (Cliquez sur l’illustration pour l’agrandir. La refermer en cliquant sur la croix)

Un curieux, à la nuit, s’y serait aventuré cet hiver. Il n’a pas été revu depuis. Aux beaux jours, trois aventuriers ont décidé, avec leurs véhicules tout terrain, de se retrouver pour explorer cette cuvette. Le véhicule venant par le sud, ainsi que celui (plus petit) venant par le nord ont disparu dans la cuvette. Les traces de pneus sont explicites. Le conducteur de la troisième voiture, sans doute ahuri du spectacle qui s’est déroulé sous ses yeux, a préféré abandonner le véhicule et repartir à toutes jambes. Il n’a jusqu’ici pas été retrouvé, tant et si bien que toutes les hypothèses sont ouvertes.

Si le coeur vous en dit, écrivez dans les commentaires, la suite que vous imaginez pour ce début de polar. La Riolle, un microcosme dans lequel tout est envisageable.

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