Notre amie la cigogne noire, habituée de la vallée de la Riolle et de ses environs, nichant dans ses bois et se nourrissant dans ses zones humides, redoute que de faux écologistes veuillent couvrir nos territoires de hachoirs à volatiles. Car oui, la rotation des immenses pales d’éoliennes tue bien des oiseaux et bien des chauves souris. L’idéologie du bien être animal et de l’écologie punitive se moquent bien des dégâts portés à la diversité locale et aux espèces autochtones.
Nous avons demandé à notre amie la cigogne noire de nous montrer ce qu’elle voit de là haut ; du haut des éoliennes ; celles qui ont été refusées au Conseil d’Etat et celles qui tentent encore de perturber notre environnement.
Du haut du mât installé à Bournan, la cigogne nous a transmis de belles images de l’est à l’ouest et du nord au sud.
Du haut de ce qu’aurait été le pylône d’une éolienne de Sepmes, elle nous à transmis un petit film du paysage, à 360°.
Merci Madame la cigogne. Nous comptons encore sur vous pour montrer que les éoliennes de Bournan ne sont pas meilleures que celles qui ont déjà été refusées à La Chapelle-Blanche Saint-Martin et aussi à Sepmes.
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Le regard de la cigogne (environ à une altitude de 100m) se porte d’abord vers l’ouest, vers Sepmes. Puis il fait un tour complet en partant vers le nord (dans le sens des aiguilles d’une montre). On distingue, dans l’ordre d’apparition, la Blanche Epine, la Pagerie, et l’étang du milieu, Bissac, Beaulieu, puis le bourg de Bossée. La ferme des Etangs apparait, avec la Manse et la voie romaine, puis la Joubardière, les Bruyères et le village de Bournan. On est bien dans une zone humide, telle que les cigognes noires les aiment.